Le livre du mois de Juin
Le train des enfants » de Viola Ardone
Babelio en dit : » Naples, 1946. Amerigo quitte son quartier pour monter dans un train. Avec des milliers d’autres enfants du Sud, il traversera toute la péninsule et passera quelques mois dans une famille du Nord : une initiative du parti communiste vouée à arracher les plus jeunes à la misère après le dernier conflit mondial. Loin de ses repères, de sa mère Antonietta et des ruelles de Naples, Amerigo découvre une autre vie. Déchiré entre l’amour maternel et sa famille d’adoption, quel chemin choisira-t-il ?
S’inspirant de faits historiques, Viola Ardone raconte l’histoire poignante d’un amour manquée entre un fils et sa mère. » Jacques G. et son cercle de lecture |
Le livre du mois de Mai
IMPOSSIBLE de Erri de Luca. « Petit roman sur la liberté, l’amour, l’amitié, la solitude, l’engagement et la trahison.Lors d’une randonnée en solitaire en haute montagne dans les Dolomites, un montagnard chute mortellement dans le vide. Il est suivi de loin par un ex-ami ayant appartenu au même groupe révolutionnaire.Suicide ? accident ? homicide ? Le récit est sous forme de dialogue entre le jeune magistrat qui instruit l’affaire et le suspect, homme d’une autre époque. Est-il coupable ou non coupable ? C’est une passe d’arme entre eux deux, on joue sur les mots en permanence. C’est fort, captivant, puissant. » Anne D. et son cercle de lecture |
Le livre du mois d’Avril
Tuer le Fils de Benoît SEVERAC
« Matthieu Fabas a tué parce qu’il voulait prouver qu’il était un homme. Un meurtre inutile, juste pour que son père arrête de le traiter comme un moins que rien. Verdict, 15 ans de prison. Le lendemain de sa libération, c’est le père de Matthieu qui est assassiné et le coupable semble tout désigné. Mais pourquoi Matthieu sacrifierait-il encore sa vie ? Pour l’inspecteur Cérisol chargé de l’enquête et pour ses hommes, cela ne colle pas. Reste à plonger dans l’histoire de ces deux hommes, père et fils, pour comprendre leur terrible relation. Derrière cette intrigue policière qu’on ne lâche pas, ce nouveau roman de Benoît Séverac nous parle des sommes de courage et de défis, de renoncements et de non-dits qui unissent un père et un fils cherchant tous deux à savoir ce que c’est qu’être un homme. »
Dominique M. et son cercle de lecture |
Le livre du mois de Mars
Rivage de la colère de Caroline LAURENT (livre broché ou pocket, prix Maison de la Presse 2020). « La jeune éditrice franco-mauricienne publie son deuxième roman : une histoire romanesque au souffle puissant, sur l’île de Diego Garcia, dans l’océan Indien, qui a été vidée de ses habitants pour l’installation d’une base américaine. Marie-Pierre Ladouceur vit depuis toujours sur l’île de Diego Garcia, dans l’océan Indien. Une vie faite de petits riens, pieds nus, entourée des siens, lorsque débarque Gabriel, un jeune Mauricien venu de la ville qui l’éblouit, avec ses traits fins, sa timidité, et son allure toute en élégance et en réserve. S’ensuit une histoire d’amour fou, qui va accompagner le lecteur pendant tout le livre, en parallèle de l’histoire de l’île et de ses habitants. Gabriel est venu seconder l’administrateur de Diego Garcia, qui est une dépendance de Maurice. Mais lorsque l’île Maurice accède à l’indépendance en 1967, le destin de ses habitants, ainsi que celui de Marie-Pierre et Gabriel, va être bouleversé. « Jacques G. et son cercle de lecture |
Le livre du mois de Février
1672, dans la baie du Massachusetts, Mary Rowlandson vit dans une communauté d’immigrés anglais et souffre de leur rigidité morale. lorsque sa colonie est attaquée par les Indiens, elle est capturée et emmenée dans leur village. Elle découvre alors des mœurs qui remettent ses repères en question et une liberté à laquelle elle ne s’attendait pas. |