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Les femmes lyonnaises qui ont marqué l’histoire
LES FEMMES QUI ONT MARQUE LYON
Visite guidée par Bénédicte,
Guide conférencière de l’Office du Tourisme Lyon,
Jeudi 13 novembre 2024
Température de saison pour cette sortie richement documentée, nous sommes 27 participants bien habillés.
Place Bellecour,
La Saône, représentée avec le Rhône par les sculpteurs Coustou sur le piédestal de la statue de Louis XIV place Bellecour.
Depuis leur restauration cet ensemble est visible aux Musées des Beaux-Arts de Lyon.
Le Rectangle, tenue par Françoise Girard /Veuve Girard (1797/1867), commerçante limonadière, surnommée la « reine des tilleuls »,
Nous traversons la place Bellecour jusqu’au Veilleur de Pierre. Bénédicte va nous parler de Marguerite Martin, connue sous le nom de Daisy. En 1940 elle prend contact avec la résistance sous le pseudonyme de Marthe Elle sera arrêtée le 6 mars 1944, torturée,. Elle sera fusillée le 20 août 1944 .
Devant l’édifice du Progrès rue de la République, Nous ferons connaissance d’Eugénie Niboyet (1796/1883). Ecrivaine, elle s’implique dans de nombreux combats sociaux tels que l’abolition de l’esclavage, l’éducation (création de crèches) et surtout le droit des femmes.
Livre : Le vrai livre des femmes, Edition 1863, réédité par Hachette Bnf)
Marcelle Vallet (1907/2000), l’une des rares femmes photographes et reporters dans les années 50.
Visite de sa collection à la Bibliothèque Municipale de Lyon.
Rue de la Barre, nous abordons la bousculade du Pont de Guillotière (alors Pont du Rhosne). Tragédie survenue le 11 novembre 1711 qui entraîne la mort de 241 personnes causée par le passage de l’encombrant carrosse de Mme Servient. Celle-ci à léguer son large domaine de la Guillotière aux Hospices Civiles de Lyon.
Devant l’Hôtel Dieu, nous apprenons que Jeanne Koelher, née Jeanne Lumière (eh oui la sœur d’Auguste et Louis) jouera un rôle social important dans la vie lyonnaise dans les domaines de l’hygiène social, la puériculture, les écoles maternelles, le secours aux femmes en difficulté et aux mères célibataires.
Nous passons devant la demeure de Louise Labé (1524/1566), appelée « la Belle Cordière ». Collectionneuse de livres précieux et poétesse à ses heures.
Cheminons jusqu’à la Place des Jacobins. Marguerite Le Paistour, l’unique bourreau femme de France exerçait à Lyon.
Livre : Monsieur de Lyon, Nicole Avril, Editions J’ai lu
La rue Mercière a été le centre de l’imprimerie à Lyon à ces débuts en 1472, durant un siècle.
En 1913, Emma Couriau, typographe. L’accès au travail lui est alors refusé. Cette féministe se battra pour faire reconnaitre les droits des femmes mariées à exercer un emploi et à faire progresser l’égalité des sexes au travail et dans les syndicats.
A voir 12 portraits de Chloé Cruchaudet au Musée de l’imprimerie de Lyon
Il est 11 h 30, l’odeur des cuisines des restaurants de la rue Mercière anime nos papilles. Les Mères Lyonnaises :
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La mère Guy, 1759, ouverture de la célèbre Guinguette
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La Mère Fillioux (1865/1925)
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La Mère Brazier (1895/1977)
Les premiers bouchons lyonnais sont en réalité directement liés aux femmes. En effet, après avoir servi dans les cuisines bourgeoises, ces cuisinières hors paires décident de partir. Ainsi, elles prennent leur indépendance et s’attèlent dans leurs nouvelles cuisines. Pendant ce temps, leurs maris sont en charge du service et de la cave à vins.
Livre : les Vénérables Mères Lyonnaises de Bernard Boucheix
Puis nous découvrons la 1ère femme de l’histoire à avoir effectué, en 1784, un vol à bord d’un aérostat libre (ballon) née en 1757 à Lyon Elisabeth Tible.
Livre : Pas d’aviation sans elles : des femmes audacieuses, aventurières et libres de Alexandre Léoty chez Privat SAS
Place St Nizier nous évoquons Pauline Jaricot (1799/1862). Connue dans le monde entier, Marie est une femme hors norme. Elle consacre sa vie à Dieu. Elle crée en 1822 « l’œuvre catholique de la Propagation de la foi.
Nous nous rappelons qu’en mai 1975, les prostituées entrent en force dans l’église St Nizier entrainées par Ulla.
Nous terminons par la Rue de la République, quartier des banques, avec Madame Veuve Morin-Pons qui a su faire fructifier la banque crée en 1805.
Sans oublier Julie Daubié, 1ère bachelière de France.
de France.
Les traboules
Les traboules
Visite guidée
Jeudi 17 octobre
La pluie n’arrête pas le bon pèlerin !
Il pleuvait dru ce jeudi matin-là.
Le tonnerre couvrait parfois la voix de notre guide.
Parapluies et chapeaux étaient de mise !
Néanmoins, une jolie visite nous attendait qui commençait par le second arrondissement
Nous remontons les époques, attentifs à l’architecture qui diffère selon les quartiers, pour des questions pratiques, économiques, religieuses ou culturelles…
Le plus marquant pour moi, cette statue contemporaine qui fait place à l’ancien Palais de justice.
« Un homme nu tenant dans ses bras un autre personnage semblable à lui-même »
L’homme porte son double exprime l’artiste.
Fardeau ou Espérance ?
Et puis enfin, les traboules, vestiges appartenant au patrimoine de l’Unesco, et datant du Moyen-âge !
Elles nous attendent, secrètes, aux portes fermées, imbriquées entre deux bâtisses… Sans doute, un coupe gorge, autrefois !
C’est étrange cette visite, lieu à la fois privée et autorisée, un peu comme si nous étions des voyeurs !
… Charme des murs couleur ocre, minuscules patios végétalisés, tours…
Il est loin le temps où les traboules étaient aussi le repaire des canuts, laissant leurs métiers grincer, dévalant les pentes de la Croix- Rousse, hurlant leur révolte, réclamant justice et liberté …
Cependant, ces curieux petits passages, étroits et sombres, et tant convoités nous laissent un peu sur notre faim : Comme Juste posés là, quelque part, un peu hors du temps
En parlant de faim, pour certains, une halte pour se réchauffer devant une belle assiette, fut la bienvenue !
Soleil, tu nous as manqué !
Salvador Dali
SALVADOR DALI i DOMENECH, Marquès de Dalí de Púbol Soirée projection AVF, vendredi 11 octobre 2024 animée par Luis Pacheco Le triangle dalinien est composé par les municipalités de Púbol, Portlligat et Figueres, lieux où le peintre Savador Dalí a vécu sa carrière et qui ont servi d’inspiration à l’univers de Dalí. C’est l’itinéraire que nous a proposé de suivre Luis Pacheco ce vendredi, salle Molière à l’AVF de Tassin. Sur les traces de Salvador Dalí, Luis nous balade dans le Théâtre-Musée Dalí à Figueres. L’ensemble du Musée a été conçu par l’artiste et nous offre une expérience unique et captivante dans l’univers surréaliste du peintre. Son activité créatrice, outre la peinture, s’est également manifestée dans le cinéma, la sculpture, le design et l’écriture, fusionnant le personnage et l’œuvre et faisant de lui un provocateur. Puis nous sommes partis pour la Maison-Musée Savador Dali à Portlligat. Construite sur le site d’une ancienne maison de pêcheur (Cadaquès) où le peintre a vécu et travaillé de 1930 à 1982 (mort de sa femme Gala). La décoration est composée d’objets sans rapport entre eux collectés par Dalí lui-même tout au long de sa vie. Parmi ces pièces, on peut voir son atelier, la bibliothèque, les pièces où il passait sa vie privée et l’espace du jardin et de la piscine. Pour finir notre escapade catalane, c’est au Château de Púbol à la Pera que nous faisons une dernière halte. Site du XIVe siècle acheté en cadeau à sa femme et sa muse Gala afin de lui offrir un refuge où se reposer. A partir de 1982, Dalí se retire de la vie publique en raison du décès de sa muse Gala et le château de Gala-Dalí devient son dernier atelier et le mausolée de sa bien-aimée. Luis Pachero nous a fait découvrir ou redécouvrir avec passion le monde d’art, de génie et d’excentricité de cet artiste hors du commun. Pour terminer cet agréable voyage filmé, nous avons pu apprécier le buffet composé de charcuterie espagnole, tortilla, l’incontournable Manchego et raisin délicieux préparé par le Restaurant Boutique de produits Ibériques Le Leona situé 54 avenue de la République à Tassin. Merci à toute l’équipe qui a su nous réjouir de cette belle soiréeActivités culturelles à Tassin La Demi-Lune
Culturez vous avec l’AVF de Tassin la Demi lune
Le président de l’AVF de Tassin a participé aux deux grands évènements culturels de la saison :
-le 4 octobre, inauguration de la Grande Fresque de l’Espace Culturel, œuvre du peintre Gautier Mathieu, par notre maire Pascal Charmot et Christine Boulay, adjointe à la culture.
N’hésitez pas , lorsque vous venez à l’Atrium, à faire le tour du bâtiment où la fresque géante résume sur 10 mètres de haut les activités de l’Espace Culturel.
– le 8 octobre, la rentrée littéraire à l’Espace Culturel de l’Atrium, présidée par Christine Boulay, adjointe à la culture, et animée par Maritsa Boghossian et Sophie Gros (librairie Pleine Lune). Devant une quarantaine de personnes Maritsa nous fit ses adieux et présenta ,avec son héritière spirituelle, leurs « coups de coeur » de la rentrée
La petite bonne, de Bérénice Pichat
Badjens, de Delphine Minoui
Les derniers de la Liste, de Grégory Cingal
Si peu, de Marco Choplin
Les âmes féroces, de Marie Vingtras
L’agrafe , de Maryline Desbiolles
L’italien, d’Arturo Pérez-Reverte.
Puis dans un long entretien, Maritsa présenta Christian Astolfi pour son dernier roman « l’oeil de la perdrix » qui narre l’histoire, inspirée de sa grand’mère, d’une jeune corse débarquant à Toulon au début du XXème siècle.
Flic et voyous
Flic et voyous
Visite guidée
Lundi 22 avril 2024
Balade guidée, au cœur de la Presqu’île de Lyon, pour les amateurs de polars et de faits divers
Lyon conté par son côté obscur, une balade pour évoquer le théâtre de grandes scènes criminelles qui ont marqué l’histoire policière et judiciaire lyonnaise.
Il s’agit ici de faits criminels historiques majeurs, emblématiques d’une époque, et non pas la narration de faits divers communs…
Un hommage est rendu aux grandes figures de la police et de la magistrature
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Face au Palais de justice, évocation du flamboyant juge Renaud.
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En plein quartier d’Ainay, le rocambolesque enlèvement du fils d’Alain Merieux, couronné par le procès de Louis Guillaud, dit La carpe.
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A l’angle de la rue d’Enghien, fin tragique du sanguinaire Pierre Rémond, dit neunoeil, grâce à la ténacité du Commissaire Javilliez.
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L’extravagante vie de Marin Laflèche, homme d’affaire plus que douteux, propriétaire du Grand hôtel, bars et boîtes de nuit, retrouvé mort dans un bois, un soir de l’été 74.
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Arrêt rue Victor Hugo pour évoquer le braquage de la BNP, œuvre « d’Action directe » qui a conduit à l’assassinat du gendarme Malaffosse.
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Grandeur et chute du Commissaire Neyret, grand flic, pointure incontournable de ceux qui ont écrit l’histoire du Crime et du grand banditisme lyonnais …
Une visite qui tient ses promesses
Fabienne raconte avec passion, braquages, casses, fusillades, rapts, holdups, maîtres- chanteurs, faussaires…
Pluie, vent, froid, pollens, peu importe, c’est passionnant !
Promenade à Madère
Promenade à Madère
Vendredi 12 avril, l’AVF de Tassin a invité ses membres à une soirée-conférence, animée par notre amie Régine. Nous avons été transportés sur la ravissante île de Madère.
Archipel du Portugal, Madère s’étend sur environ 800 km². D’origine volcanique, elle s’est construite sur des éruptions qui ont façonné ses paysages.
Madère appartient à la Macaronésie, région constituée d’un ensemble d’îles situées dans l’océan Atlantique.
Funchal en est la capitale. Le climat, très doux toute l’année, est de nature océanique subtropical. Il confère à ce territoire une douceur de vivre, un aspect verdoyant et des paysages remarquables.
C’est une destination appréciée particulièrement par les amateurs de randonnées pédestres.
Le panorama abrite très souvent une flore exubérante : strélitzias, azalées, cycas, forêts d’eucalyptus.
Madère dispose de particularités touristiques : les levadas ou canaux d’irrigation ( d’une longueur de 2150 km), les traîneaux en osier conduits par les carreiros, les petites maisons rouges et blanches transformées en magasins, de nos jours.
On ne peut passer sous silence la production locale de l’excellent vin de Madère (Madeira). Afin de le rendre plus capiteux, ce nectar doux est agrémenté d’eau de vie de raisin lors de la fermentation.
Après de chaleureux remerciements à Régine pour cette agréable promenade à travers les paysages de Madère, la soirée s’est poursuivie avec le verre de l’amitié. Ce dernier fut accompagné par la traditionnelle pizza (qui ne figure pas parmi les plats typiques régionaux de Madère, mais très appréciée par les invités) !
PS: Cette belle promenade à Madère a été perturbée par un défaut informatique: veuillez m’en excuser.
Musée de l’air et de l’aviation Clément Ader
Musée de l‘air et de l’aviation Clément Ader
Mercredi 13 mars 2024
Situé sur l’aérodrome de Corbas, au sud de Lyon, le musée nous invite à découvrir des collections d’aéronefs, de moteurs et d’équipements aéronautiques, représentant 100 ans d’histoire.
L’Association EALC (Espace Aerol Lyon Corbas)
C’est grâce à cette association, que cet espace a pu prendre toute sa dimension technique, culturelle et humaniste. L’EALC prend en charge la restauration des collections qu’elle héberge, assure des actions de formation, encourage la culture aéronautique.
Une histoire de l’aviation, des avions, et des aviateurs, sur 100 ans
C’est une histoire passionnante entre 1870 et les années 80.
La collection n’héberge que des modèles dont la fabrication et l’utilisation n’ont plus cours à ce jour. Notre guide relate les premiers vols, des expériences hasardeuses, avec plus ou moins de succès.
Chacune a permis l’avancée de l’histoire de l’aviation :
Clément Ader, Les frères Wright, Louis Blériot, les frères Voisin, Santos Dumond…
Sur près d’un siècle, on voit l’évolution de l’aviation, capable de concevoir des avions de plus en plus performants… De l’avion chauve-souris, jusqu’aux Mirages, et aux Mystères des années 80, on a pu mesurer les progressions incroyables, dans la conception des engins :
Poids de l’appareil, matériaux employés, moteurs à vapeur, alcool, essence… fuselages, ailes, hélices, frets…
41 avions à découvrir
Différents aéronefs pour des missions différentes
Les aéronefs exposés représentent l’intégralité du domaine aéronautique : avions, hélicoptères, planeurs…
Les missions sont multiples : Ecole, liaison, sécurité civile, chasse, bombardements, observation, aviation navale…
Certaines pièces sont des pièces uniques (prototypes), alors que d’autres sont emblématiques de leur époque.
Une approche très érudite de l’aviation, des avions, et des aviateurs.
Merci à Roland, notre instructeur, d’un jour !
Le Sénégal
Le vendredi 9 février, l’AVF nous a proposé une soirée découverte du Sénégal, animée et présentée par Marie-Denise.
Un circuit, de Saint Louis du Sénégal à Dakar en passant par l’île de Gorée, nous a plongés au plus près de l’univers quotidien des Sénégalais.
La superficie du Sénégal représente 3 fois celle de la France. Le pays devient indépendant en 1960. Il compte environ 16 millions d’habitants. La religion dominante est l’islam à 90 %.
Les principales sources de revenus sont la pêche et les produits agricoles.
Le Sénégal est marqué dans son histoire et ses monuments par l’esclavage qui fut aboli avant la fin du 19eme siècle.
Saint-Louis du Sénégal fut un lieu de capture et de traite des noirs. La traite atlantique fut la plus importante. Environ 15 000 esclaves partaient chaque année pour les Amériques.
La Maison des Esclaves, datant du 18ème siècle et située sur l’île de Gorée, apparaît comme un haut-lieu symbolique construit à la mémoire des esclaves.
La statue, le « Trésor de Terenga » témoigne aussi de l’hommage rendu aux esclaves. Érigée à Gorée, elle représente un couple enlacé, dont les chaînes sont brisées.
Tous les ans, la plupart des Sénégalais et même des étrangers, accomplissent un pèlerinage à Touba. La mosquée, un joyau architectural en marbre rose, accueille la ferveur des pèlerins.
Sur un pupitre, près de l’entrée, Marie-Denise avaient exposé quelques objets fabriqués artisanalement au Sénégal dont des calebasses, du pain de singe ( pulpe contenue dans les fruits du baobab ), des fleurs d’hibiscus.
La soirée s’est terminée par la dégustation de spécialités sénégalaises, des Fatayas, arrosés de bissap, une délicate boisson au jus d’hibiscus.
En conclusion, nous nous sommes bien éclatés au Sénégal avec Marie-Denise et merci à elle.
Musée de la résistance et de la déportation
Centre d’Histoire de la résistance et de la déportation
Visite guidée
Samedi 20 janvier
Si les murs pouvaient parlerCrée en 1965, d’anciens résistants et déportés se constituent en association pour ouvrir un musée de la seconde guerre mondiale, plus particulièrement dédié à la résistance et à la déportation.
Lyon et sa région, un haut lieu de la résistance
De par sa situation géographique, son ferroviaire, et l’étendue de ses transports en communs, Lyon et sa région s’imposent comme un haut lieu de la résistance.
De plus, l’héritage des travaux d’imprimerie, en font une arme redoutable, facilitant la diffusion d’informations ponctuelles, tracts, et affichages de propagande, et contre propagande.
Une scénographie habile pour faire revivre les heures les plus sombres de l’histoire
L’histoire nous est contée sous forme de panneaux pédagogiques illustrés, le guide prend le relais pour commenter :
- L’émergence du régime de Vichy,
- Maréchal Pétain, héros de Verdun, au banc des accusés,
- Jean Moulin, une icône de la résistance, grand unificateur des mouvements de résistance,
- Claus Barbie, « le boucher de Lyon »,
- Les lois anti-juives, les arrestations, et la déportation…