Dans les rencontres autour d’un livre, on a trouvé la bonne formule, on discute, on propose, on donne son opinion, on argumente et l’après- midi passe très vite, dans la bonne humeur ambiante, aujourd’hui le livre à l’affiche était :
LE PARFUM DE L’HELLEBORE DE CATHY BONIDAN :
« Anne a été envoyée à Paris pour travailler dans le centre psychiatrique que dirige son oncle. Au début des années soixante, les traitements en sont encore à leurs balbutiements. Anne observe le comportement étrange d’un jeune garçon de 11 ans, Gilles, que tout le monde surnomme « le débile ». Elle envoie ses impressions à sa meilleure amie au travers de lettres clandestines. Pourquoi leur correspondance est-elle interdite ? Et pourquoi Anne a-t-elle été forcée de s’éloigner des siens ?
Au centre, elle fait la rencontre d’une jeune anorexique, Béatrice, avec qui elle se lie d’amitié. Ensemble, elles remarquent ce que tout le monde semble ignorer : auprès du jardinier de l’hôpital, Gilles, qui est en réalité atteint d’autisme, cesse ses crises. Il prononce même ses premiers mots. Mais le monde psychiatrique en décidera autrement.
Des années plus tard, Sophie, étudiante en psychologie, tombe sur le journal de Béatrice et n’aura de cesse que de comprendre ce qui est arrivé à chacun. Pourquoi le journal de Béatrice s’arrête-t-il brutalement l’été de ses quatorze ans ? Qu’est devenu Gilles ? Anne et le jardinier parviendront-ils à sauver les deux enfants ? »
Voici le ressenti de Christine H qui résume d’une manière très complète cet ouvrage qui traite d’un sujet délicat.
« Si je devais résumer le roman en un mot, je dirais qu’il traite de l’enfermement. L’enfermement de ceux que l’on décrète malades et ceux qui se pensent normaux.
C’est d’abord un échange épistolaire entre deux jeunes femmes Anne Et Lizzie qui nous installe dans le sujet du roman en 2ème partie.
L’auteur nous ouvre les portes d’une institution qui accueille des jeunes malades souffrants de troubles mentaux, en particulier l’anorexie et l’autisme.
Il y a la jeune Béatrice et son discours qui nous laisse penser qu’elle a choisi ce chemin de l’anorexie. On lui reconnaît une intelligence bien au- dessus de la norme. Un Docteur de l’institution entend sa frustration intellectuelle. Ce qu’il lui répond m’a semblé capital : « l’intelligence n’est pas un cadeau. Il faut constamment l’occuper au risque de la voir se concentrer sur les réflexions perturbantes et handicapantes. »
Le corps de Jeanne était-il une prison dont son cerveau voulait se délivrer ? Comment soulager cette douleur ? Le sait-on aujourd’hui ?
Et il y a le petit Gilles dont l’environnement médical ne sait pas traiter l’autisme.
Les « sachants » n’ont pas les yeux de Serge le jardiner (j’allais dire le beau Serge, un film bien de l’époque), qui sait le prix de l’incompréhension. Il laisse venir à lui l’enfant. Un pas à pas du petit Gilles vers un peu de lumière et d’apaisement, et plus tard vers le langage, pour pouvoir vivre sans peur ou plus justement apaisé, face au réel.
Le réel notre éternel souci.
Faire face à son histoire, vivre avec ou la nier. Dans ce registre, il y a Anne, victime de la brutalité bourgeoise de sa mère (personnellement, je trouve que c’est une chance d’en avoir été séparée). Anne se trouve souvent indigne et la perte de la jeune Béatrice l’enferme vers un peu plus de culpabilité. La culpabilité encore une prison.
Est-ce la même qu’entretient 50 ans plus tard Sophie, qui a fui l’angoisse d’un Alzheimer qui lui volait sa mère ?
Il me semble qu’il faut avoir un regard sans doute lucide mais indulgent envers les soignants, en particulier ceux des années 50. Le roman met aussi en valeur l’investissement des médecins qui connaissent la douleur de l’empathie quand on est complètement démunis. De l’indulgence aussi pour les parents épuisés et sans solution pour leur enfants, « cet inconnu ».
L’auteur nous offre un happy-end et on l’en remercie.
Car on veut bien penser, réfléchir, revenir sur nos à priori, nos certitudes – Une petite fenêtre pour respirer quoi ! » (Christine)
Le ressenti de Danièle C:
« J’ai bien aimé le parfum de l’héllébore. Un peu déconcertée par le style daté de la première partie, puis plus impliquée dans la deuxième avec les recherches de l’héroïne.
Au cours de mes études j’ai abordé l’autisme et fait un stage auprès d’enfants. J’ai donc été intéressée par ces débuts de prise en charge spécifiques à cette maladie. Au début de ma carrière, les mères étaient considérées comme responsables de ce trouble de relation. On sait maintenant combien ce positionnement des psychanalystes les a fait souffrir inutilement. » (Danièle)
Une phrase du texte a particulièrement interpellée nos lectrices :
«  Je ne peux m’empêcher de penser que tous les péchés du monde seront toujours portés par les femmes tant que nous vivrons dans un monde où savant rime avec masculin. »
Ce qui reflète bien la période des années 50/60 où le masculin prime.
« Le parfum de l’héllébore est un roman qui pose un regard très humain sur la maladie. Elle n’est pas perçue à travers le prisme froid et clinique de la médecine, mais bien par le prisme de la jeunesse altruiste, désireuse de comprendre et d’aider son prochain. Ce roman entrelace plusieurs quêtes d’identité et nous donne à voir une jeunesse qui se cherche qui se questionne sur la place qu’elle occupe dans le monde.
Le premier roman de Cathy Bonidan marque par son sujet avec l’émotion inévitable de ces jeunes filles confrontées à l’anorexie, le touchant rapprochement entre un jeune autiste et un mystérieux jardinier et l’impression d’impuissance de la science. »
A noter : L’héllébore est aussi appelé l’herbe aux fous car dans l’Antiquité elle était considérée comme un remède à la folie.
« Diagnostics tardifs, parcours de soin digne d’un parcours du combattant, manque de structures d’accueil adaptées… Confrontée à ses retards en matière de prise en charge de l’autisme, la France a fait de ce trouble une « Grande Cause nationale » de l’année 2012. Quel bilan tirer de cette labellisation ? La sensibilisation du grand public et des professionnels de santé a-t-elle porté ses fruits ? La situation progresse… encore trop lentement, selon les conclusions d’une enquête menée auprès de près de 700 familles. » (extrait /Presse)
Autres ouvrages traitant de l’autisme :
Danièle nous recommande la lecture de LA VIE RIPOLIN de JEAN VAUTRIN – Un roman autobiographique fort et poignant sur son fils.
Une autre auteure s’est beaucoup investie dans les années 80/90, période où on ne parlait pas encore beaucoup des problèmes de ces enfants dits « différents », il s’agit de Torey HAYDEN dont l’expérience professionnelle en enseignement/psychologie en tant qu’auxiliaire en thérapie enfantine l’a amenée à écrire notamment :
L’Enfant qui ne pleurait pas, 1980 (Document)
Les Enfants des autres, 1980 (Document)
Kévin le révolté, 1983 (Document)
La Forêt de tournesols, 1984 (Roman)
Une Enfant comme les autres, 1988 (Document)
L’Enfant qui ne parlait pas, 1991 (Document)
La Fille du tigre, 1995 (Document)
L’Enfant blessée, 2002 (Document))
Les Enfants du crépuscule, 2005 (Document)
Ainsi que :
Un bonheur que je ne souhaite à personne de Samuel LE BIHAN
COUPS DE CŒUR DE NOS LECTRICES :
1966 DE GERALDINE BROOKS :
« Dans un petit village du Derbyshire, Anna Frith est femme de mineur et mère de deux petits garçons et la vie s’annonce belle jusqu’à ce que son mari décède dans un accident lors de l’exploitation de son filon de plomb. Heureusement, Anna travaille comme servante chez le révérend Mompellion et l’épouse de ce dernier, Elinor, lui a aussi appris à lire. Au printemps 1665, George Viccars, un tailleur venu de Londres, cherche un logement où s’installer et la jeune femme accepte de le recevoir car le loyer va lui permettre de compléter son maigre revenu. George s’entend bien avec les enfants d’Anna et celle-ci le trouve aussi très gentil et poli mais après avoir reçu un colis de tissus en provenance de la capitale, il déclare une fièvre et le révérend Mompellion, appelé à son chevet devant l’aggravation des symptômes, confirme vite les propos effrayants tenus par le pauvre homme malade : il s’agit de la peste et très vite, tout le village va devoir affronter une terrible épidémie et Anna va se retrouver en première ligne … »
« On plonge dans l’histoire à l’automne 1666, alors que l’épidémie sévit déjà depuis plusieurs mois et on découvre donc ce qui s’est passé grâce aux flashbacks fournis par Anna, qui est la narratrice s’adressant aux lecteurs. On sait donc certaines choses avant même qu’elles arrivent mais on ne sait pas comment elles se sont déroulées et cela permet une certaine tension dans la lecture car on attend de voir arriver ces drames et comme j’ai trouvé facile de m’attacher aux personnages, je me suis aussi prise à les redouter. Le récit s’appuie sur des faits réels mais peu documentés, ce qui a permis à l’auteure de mélanger fiction et personnages ayant existé sans que cela ne pose de problème. Le contexte historique est intéressant avec la restauration du roi et l’abandon progressif d’un puritanisme religieux et la vie quotidienne du village permet de bien se couler dans l’histoire. Si j’ai énormément aimé Anna et Elinor, d’autres protagonistes sont peu sympathiques et bien sûr, comme dans toutes les crises majeures, il y a toujours des gens pour chercher des boucs émissaires et la religion et la superstition sont omniprésentes. Certains moments sont durs, les évènements tragiques et c’est presque étrange de voir dans un livre écrit en 2002 un reflet des deux dernières années que le monde vient de vivre (et là, on peut relativiser et se dire qu’on s’en est bien sorti comparé aux personnages du livre). En plus de l’épidémie, de la religion, l’auteure nous parle aussi de la condition des femmes, du fonctionnement d’un village de l’époque et des relations entre gens communs et familles riches (et nobles) possédant des propriétés dans les environs. Le seul tout petit bémol est la fin qui m’a un peu moins convaincue mais qui a le mérite d’être originale ! Mais ça mérite quand même un coup de cœur ! » (Bibliothèque du Dolmen).
MUR MEDITERRANEE DE LOUIS PHILIPE DALEMBERT :
« À Sabratha, sur la côte libyenne, les surveillants font irruption dans l’entrepôt des femmes. Parmi celles qu’ils rudoient, Chochana, une Nigériane, et Semhar, une Érythréenne. Les deux se sont rencontrées là après des mois d’errance sur les routes du continent. Depuis qu’elles ont quitté leur terre natale, elles travaillent à réunir la somme qui pourra satisfaire l’avidité des passeurs. Ce soir, elles embarquent enfin pour la traversée.
Un peu plus tôt, à Tripoli, des familles syriennes, habillées avec élégance, se sont installées dans des minibus climatisés. Quatre semaines déjà que Dima, son mari et leurs deux fillettes attendaient d’appareiller pour Lampedusa. Ce 16 juillet 2014, c’est le grand départ.
Ces femmes aux trajectoires si différentes – Dima la bourgeoise voyage sur le pont, Chochana et Semhar dans la cale – ont toutes trois franchi le point de non-retour et se retrouvent à bord du chalutier unies dans le même espoir d’une nouvelle vie en Europe.
Dans son village de la communauté juive ibo, Chochana se rêvait avocate avant que la sécheresse ne la contraigne à l’exode ; enrôlée, comme tous les jeunes Érythréens, pour un service national dont la durée dépend du bon vouloir du dictateur, Semhar a déserté ; quant à Dima, terrée dans les caves de sa ville d’Alep en guerre, elle a vite compris que la douceur et l’aisance de son existence passée étaient perdues à jamais.
Sur le rafiot de fortune, l’énergie et le tempérament des trois protagonistes – que l’écrivain campe avec humour et une empathie manifeste – leur seront un indispensable viatique au cours d’une navigation apocalyptique.
S’inspirant de la tragédie d’un bateau de clandestins sauvé par le pétrolier danois Torm Lotte pendant l’été 2014, Louis-Philippe Dalembert, à travers trois magnifiques portraits de femmes, nous confronte de manière frappante à l’humaine condition, dans une ample fresque de la migration et de l’exil. »
« Un livre essentiel : il rappelle que tous ces hommes, femmes et enfants, que l’on voit dans les rues et sous leurs tentes au bord du périphérique, ont un visage, une histoire, une soif de liberté, des rêves.
Ces migrants sont des réfugiés politiques, économiques, écologiques. Certes, ils arrivent en Europe — pour ceux qui y parviennent — broyés, ruinés, anéantis. Dès l’instant où ils sont tombés entre les mains des passeurs, leur vie est devenue violence. Ils sont musulmans, juifs ; ils viennent de toute l’Afrique ; et chacun tente de puiser sa force dans sa croyance.
Ce livre dit donc ce courage insensé, celui de ceux qui choisissent un jour de tout quitter. » (Actualitté)
VERS LE SOLEIL DE JULIEN SANDREL :
« Auteur du best-seller La Chambre des Merveilles, en cours d’adaptation au cinéma, l’écrivain français Julien Sandrel s’est inspiré de la tragédie du pont de Gênes, qui s’est écroulé en 2018, pour créer Vers le soleil. Ce roman inspirant, où il est question de liens puissants et de secrets dangereux, montre à quel point la vie ne tient parfois qu’à un fil. Et que lorsque tout s’écroule, au sens propre comme au figuré, les vrais sentiments apparaissent.
Le 14 août 2018, Tess part vers la Toscane, où elle doit rejoindre sa fille, Sienna, et l’oncle de celle-ci, Sacha, pour les vacances. Lorsqu’elle fait étape chez sa meilleure amie, à Gênes, un grondement épouvantable survient et tout s’écroule autour d’elle. C’est la catastrophe : une longue portion du pont de Gênes vient de s’effondrer, enfouissant le secteur sous les débris. Tess est portée disparue.
Lorsque Sacha est informé de la catastrophe, son univers s’effondre. Et leurs mensonges aussi, car Sacha n’est pas vraiment l’oncle de Sienna, la petite fille de 9 ans.
En fait, il est un acteur et il a été embauché pour jouer le rôle d’oncle, quelques jours par mois. Lentement mais sûrement, des liens très forts se sont tissés entre Sacha, Sienna et Tess.
Des secrets dangereux liés à « la vie d’avant » de Tess refont surface après la catastrophe, et Sacha doit décider, très vite, des actions à prendre. Qu’arrivera-t-il si Tess ne sort pas vivante des décombres ? Sacha doit-il se sauver avec Sienna pour la protéger ? »
Julien Sandrel a été fortement marqué par la tragédie qui a fait 43 morts et 16 blessés.
« La plupart des victimes étaient des familles en vacances qui étaient en route vers les vacances, vers le soleil. »
Il a été transporté par son séjour en Toscane, par la beauté des paysages et l’atmosphère bien spéciale qu’on y trouve. Toute cette luminosité se retrouve dans le roman, en marge des aspects dramatiques. »
L’AMI DE TIFFANY TAVERNIER :
« Un samedi matin comme les autres, en attendant le réveil de son épouse, Isabelle, Thierry s’apprête à aller saluer la rivière qui borde le petit hameau de deux maisons. Le couple partage ce petit coin de nature avec leurs voisins Guy et Chantal depuis maintenant quatre ans. Mais les bruits de moteurs, les armes, les casques, les ambulances, et les agents du GIGN qui se déploient en ont décidé autrement. Pourquoi prendre d’assaut la maison de Guy, son meilleur ami ?
Thierry n’aurait jamais pu imaginer toute la violence, toutes les horreurs qui se jouaient à quelques mètres de chez lui, après les dîners partagés et leurs après-midis à observer patiemment les insectes. Jamais, il n’aurait pu imaginer que la seule personne à laquelle il se soit ouvert soit le tueur que les médias ont rebaptisé « le monstre ». Jamais il n’aurait pu imaginer que ce samedi matin serait le début d’une lente agonie, que cette révélation serait la première d’une longue série.
L’Ami, c’est l’histoire de celui qui reste, qui est toujours resté. Tiffany Tavernier interroge : comment digérer cette violence dont on est ni l’acteur ni la victime mais qui s’abat de plein fouet, encore et encore. Dans les yeux de sa femme, de la famille des victimes, mais aussi de la mère de Thierry avant eux, se reflètent bientôt d’autres douleurs, un autre temps. Toutes les portes du passé s’ouvrent, les récits se mêlent ; l’incompréhension gagne du terrain, et Thierry sombre dans ces flots.
Car on l’accuse : d’être insensible, d’être absent pendant qu’à l’intérieur de lui « quelque chose comme une digue qui éclate », le submerge. Il suffoque sous cette lame de fond et de souffrance qui emporte tout sur son passage, malgré ses efforts pour traverser ce déluge qui s’abat sur les survivants, les dégâts collatéraux. Il incarne alors la descente aux enfers de l’innocent qui ne sait crier à l’aide qu’en lui-même, toujours plus enfermé, toujours plus enterré au cœur de la douleur.
L’Ami, c’est l’histoire de la culpabilité, mais aussi et surtout de la violence. De toutes les violences, celles que l’on s’inflige, celles que l’on reçoit, celles du corps, de l’âme et des sentiments. La violence de l’absence, du vide, aussi entouré que l’on soit, celle de « la fureur du réel qui fait si mal ». Pour une fois il ne s’agit pas de rentrer dans la tête du tueur, mais plutôt dans le cœur de celui qui fut son ami, à travers la culpabilité de celui qui n’a rien commis et dont la faute est de n’avoir rien vu, rien entendu.
L’Ami c’est aussi l’histoire d’un homme, si profondément dégoûté par la violence, qu’il ne sait vivre celle, merveilleuse, de ses sentiments, de l’attachement et de l’amour. Tiffany Tavernier propose une nouvelle fois de plonger à corps perdu dans une sensibilité hors normes devenue muraille, construite pour protéger, pour effacer ce qui déborde. Un cœur comme atrophié par le temps, au point de ne plus reconnaître les sentiments. «  (Actualitté)
Autres ouvrages cités :
• Le gosse de Véronique OLMI
• S’adapter de Clara DUPONT MONOD
(voir les comptes rendus précédents)
Notre réunion du 9 juin :
Deux livres proposés :
• LE DIT DU MISTRAL D’Olivier MAK-BOUCHARD
• UNE SAISON DOUCE DE MILENA ANGUS
JOURNEE TRES PARTICULIERE puisque ce sera le jour où nous VOTERONS pour le PRIX AVF /SILLAGE :
Pour ce faire nous vous rappelons les titres en lice :
• 1. LA SAGE FEMME DES APPALACHES DE PARTRICIA HARMAN
• 2. LA OU CHANTENT LES ECREVISSES DE DELHIA OVEN
• 3. LES INVISIBLES DE ROY JACOBSEN
• 4. TANT QU’IL Y AURA DES CEDRES DE PIERRE JARAWAN
• 5. PRODIGIEUSES CREATURES DE TRACY CHEVALIER
• 6. AME BRISEE D’AKIRA MIZUBAYASHI
• 7. NATURE HUMAINE DE SERGE JONCOUR
• 8. LA LIBRAIRIE DE LA PLACE AUX HERBES D’ERIC KERMEL
• 9. LUMIERE D’ETE, PUIS VIENT LA NUIT DE JON KALMAN STEFANSSON
• 10. LA SOMME DE NOS VIES DE SOPHIE ASTRABI
• 11. RACHEL ET LES SIENS DE METIN ARDITI
• 12. CEUX QUI VOULAIENT VOIR LA MER DE CLARISSE SABARD
• 13. LE PARFUM DE L’HELLEBORE DE CATHY BONIDAN
• 14. LE DIT DU MISTRAL D’OLIVIER MAK-BOUCHARD
• 15. UNE SAISON DOUCE DE MILENA ANGUS
Programme chargé de l’après- midi :
1. Ressenti sur les deux derniers livres à lire pour le 9 Juin
2. Vote à bulletins secrets pour élire le livre « AVF/SILLAGE »
3. 15H 10 – Présence de notre coordinatrice AVF et membre du CA, de l’équipe de Sillage et de la journaliste pour décerner le Prix AVF/SILLAGE.
4. Verre de l’Amitié
Bien entendu, nous espérons une forte participation de votre part, en présentiel ou par internet pour celles qui ne pourront pas être des nôtres ce 9 juin.
EN AVANT PREMIERE : LE LIVRE PROPOSE POUR LA RENTREE 2022/2023 SERA :
LES CLOCHES JUMELLES DE LARS MYTTING
(sortie prévue en Libraire en poche le 1er juin 2022)
Comme vous pouvez le constater la saison 2021/2022 a été bien remplie –
Nous espérons qu’elle vous a plu.
Bonne lecture à toutes, à bientôt au 9 juin.
Catherine et Evelyne