Catégorie : Agenda
22/03 – En direction du Mont Beauvoir depuis Saint-Christophe-la-Grotte, puis Boucle historique et préhistorique de Saint-Christophe la Grotte
Nous étions 19 ce jour à effectuer cette randonnée que l’on débute par le Sentier du Beauvoir qui s’élève rapidement entre les rochers, par des passages équipés de câbles en main courante mais sans difficulté technique particulière. La pente s’adoucit ensuite pour remonter le bord du plateau et ses lapiaz, le sentier suit une piste forestière. Puis descente sur le plateau de la Ravoire, à la rencontre de la préhistoire sur le site de la Fru et du passage historique de la voie Sarde entre Lyon et Turin.17/03 – Le pont des Gaulois
Partis de St Blaise du Buis en direction d’Apprieu, nous avions une mission bien précise, à savoir tester la solidité du pont sur la Fure. Effectivement, ils sont trop forts ces Gaulois, le pont a bien résisté à notre passage ! Celui-ci est une suite de dalles posées dans le lit de la rivière dont la réalisation serait postérieure à la période Gauloise. L’eau transparente et abondante de la Fure a séduit notre « marcheur-pêcheur » qui a bien repéré les lieux. Les marcheuses, elles, ont profité des petites fleurs du printemps à défaut de soleil. Nicole PERRIN15/03 – Du col du Banchet au col de Crusille en passant par le château de Montbel
Une randonnée douce pour chercher les premiers signes du printemps. La montagne du Banchet est très fréquentée à l’époque des jonquilles qui y abondent. Le parcours proposé parcourt le rebord de crête très fleuri en ce moment et s’étire jusqu’aux ruines du château. Ces 2 cols traversent le sud du chaînon du mont Tournier et l’itinéraire permet de belles vues sur l’est et l’ouest de l’Avant-Pays savoyard, le Dauphiné et lorsque la météo est au rendez-vous, le Vercors et la chaîne du Jura. La jonquille du col du Banchet, belle et convoitée, appelée localement bayaude, tire son étymologie du grec narkaô, assoupir (les fleurs ingérées causent un assoupissement) et du latin pseudo-narcissus, faux narcisse, le vrai étant le narcisse des poètes.