Si le soleil ne nous a pas accompagnés sur le sentier des moulins, les couleurs d’automne étaient au rendez-vous.

Du parking de l’abbaye de Sorèze nous avons pris le sentier menant à Durfort.

Évitant la boue du sentier des poètes nous avons franchi le Sor au Moulin de Larroque.

Depuis le Moyen âge, le Sor fut source d’énergie hydraulique bans la vallée de Durfort (à partir de l’actuel barrage des Cammazes)

Au fil du temps se sont développés des moulins à blé ainsi que drapiers puis dès le XVème ce fut la construction de martinets pour  façonner le cuivre, ils ont fait la renommée de Durfort et le dernier s’est arrêté il y a peu de temps.

Une montée régulière nous conduit sous l’usine d’eau potable de Picotalen puis au lieu-dit le Barracou. Nous passons devant le gîte « Gaïa » et nous admirons le lac de St Ferréol que nous dominons.

Maintenant nous abordons une descente nous laissant voir Sorèze et l’Oppidum de Berniquaut sous un angle nouveau.

Un petit détour a permis de découvrir un causse peu connu avec une végétation spécifique et plus loin ce qui reste d’un ancien four à chaux

Arrivés au hameau La Rivière,  nouveau franchissement du Sor près du moulin du Chapitre et retour par la voie verte récemment aménagée.

 

8,3 km, 180 de dénivelé et 13 participants.

 

Jean -Claude

Le sentier des Moulins au départ de Sorèze

 

L’oppidum de Berniquaut
ancien four à chaux

 

 

JLC