La plupart d’entre nous s’interrogeaient sur cette construction à bulbes d’or aperçue depuis les bords de Seine. Le mystère a été  largement dissipé au cours de la visite commentée par une guide passionnée. Pour la petite histoire, les bulbes d’or ne sont pas indiens mais russes car l’artiste qui les a réalisés était orthodoxe. Le premier étage du Pavillon propose une découverte des arts décoratifs dans la seconde moitié du XIXe marqués par un éclectisme inspiré par l’Orient et l’Extrême Orient.

Le musée installé dans un ancien pavillon de la Suède et de la Norvège présente des peintures d’artistes ayant vécu à Courbevoie, aujourd’hui oubliés mais célèbres à leur époque.