Activités

Publié le 10 mars 2018

Ce jeudi, Nadège notre guide nous fait découvrir la fabuleuse collection de Walter Guillaume.

L’histoire ,source Wikipédia:

En 1934, Domenica, la veuve du marchand d’art Paul Guillaume, hérita de sa fortune et de sa collection, avec possibilité de la transformer mais obligation de la faire entrer un jour au musée du Louvre. Son goût la porte à acquérir de nouvelles œuvres impressionnistes ; tandis qu’elle vend en contrepartie plus de deux cents œuvres, dont certaines auraient pourtant été particulièrement complémentaires pour les collections françaises d’art moderne, dont toutes les toiles de Giorgio de Chirico, toutes les œuvres cubistes de Picasso et toutes les sculptures d’art africain, quinze Matisse mais surtout ses deux très grands formats précoces qui incluaient La Leçon de piano(1916) achetée en 1946 par le MoMA, dont seul le musée de Grenoble conserve en France un équivalent avec l’Intérieur aux aubergines (1911) et des portraits de Modigliani, dont celui de Jean Cocteau.

L’État acquiert sous réserve d’usufruit auprès de Domenica Walter, remariée à l’architecte et industriel Jean Walter, pour un montant de 135 millions de francs réunis grâce une souscription de la Société des amis du Louvre, 47 tableaux en 1959 puis les 99 tableaux restants en 1963. Domenica Walter concrétise ainsi le souhait de son premier mari qui voulait que sa collection devienne le « premier musée d’art français moderne ». De 1960 à 1965, sous la direction de l’architecte Olivier Lahalle, le musée est transformé afin d’abriter la collection WalterGuillaume, cédée à l’État français à condition qu’elle ne soit pas dispersée. Les galeries d’exposition créées en 1930 sont alors supprimées tandis que deux nouveaux niveaux superposés sont créés sur toute la longueur du bâtiment. Un escalier monumental, pourvue d’une rampe décorée par Raymond Subes, remplace alors le vestibule donnant sur les Nymphéas. Il permet d’accéder à une enfilade de salles (d’une superficie de 1 300 m2) voulue par Domenica Walter afin d’exposer les 146 tableaux de sa collection. La collection est présentée au public en 1966, en présence du ministre des Affaires culturelles André Malraux mais les œuvres restent chez Mme Walter jusqu’à sa mort en 1977. Alors que la collection Walter-Guillaume entre enfin à l’orangerie de manière définitive, une nouvelle campagne de travaux sur le bâtiment débute en 1978 et se poursuit jusqu’en 1984. À cette occasion, l’Orangerie devient un musée national indépendant du Jeu de Paume et détaché de la tutelle du Louvre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le copiste en action

 

 

Nous avons découvert de nombreux autres tableaux

 

 

 

 

 

Ensuite nous sommes allés dans l’immense salle ovale où sont exposés

Les Nymphéas. Une merveille…

 

Après ces dernières explosions de couleurs, nous avons quitté le Musée et avons pris le chemin du retour.

Publié le 10 février 2018

Dominique Maréchal nous a emmené découvrir, avec l’un des guides de l’association, les carrières des Capucins.

Son histoireICI

 

 

Le musée comprend des galeries souterraines d’environ 1,2 kilomètre de long, situées à 18 mètres sous la surface, elles peuvent être visitées uniquement, sur réservation, par des petits groupes de visiteurs (généralement dans le cadre de demandes d’associations).

Le site est géré par une association, la SEADACC (Société d’études et d’aménagement des anciennes carrières des Capucins), en convention avec la ville de Paris. Cette association a notamment obtenu le classement du secteur de la fontaine des Capucins et de galeries voisines. L’association assure l’aménagement du site, la restauration, des travaux de recherche sur le thème des anciennes carrières et les visites guidées du musée.

Le parcours rassemble, sur une petite partie des carrières souterraines de Paris, l’ensemble des types de consolidations réalisées sous Paris depuis la fin du XVIIIe siècle, avant la création de l’Inspection générale des carrières, jusqu’aux années 1940.

Nous avons commencé à découvir les différentes pierres des carrières.

Nous sommes ensuite partis à la découverte des galeries qui sont dans un état exceptionnel.

 

Ce puits a été créé pour réaliser les travaux, la nappe phréatique affleure, il a été  également créé une échelle d’étiage pour le niveau des inondations.

 

Quelques uns des nombreux poteaux de soutien avec pour certains le nom de l’endroit Parisien qui se trouve au dessus.

Les numéros permettent de se repérer dans les carrières.

 

 

Ancien puits d’accès pour l’évacuation des pierres.

 

 

 

 

 

L’une des très belle et étroite galerie.

Aprés ce passage dans  le passé dans la douceur des sous sols, nous avons retrouvé la lumière et la fraîcheur de saison.

Trés belle sortie.