Activités

Publié le 17 avril 2019

Pour ce premier Atelier peinture de l’année, du 15/01/19 Jocelyne avait invité René pour qu’il fasse une initiation aux Pastels.

Ce premier Atelier a été consacré à la mise à l’échelle du motif sur papier.

 

Les 2 heures sont passées très rapidement, mais chacune a pu terminer son motif à l’échelle.

René à déjà donné son prochain rendez-vous pour effectuer les pastels.

Pour cette seconde initiation, du 12/02/19, René est revenu donner ses conseils pour appliquer les couleurs.

 

 

Présentation des tableaux en cours.
Ci-dessous les 2 tableaux Terminés:
Celui de Jocelyne:
                       

Et celui de Domi:

                         

Merci à René pour le temps consacré à cette initiation.

Merci à Sophie et à Jocelyne pour les photos

Publié le

Ce jeudi 7 février, Nicole a organisé la visite de la Cathédrale Russe de la sainte Trinité:

 

Son Histoire:  Cathédrale Sainte Trinité

 

 

 

 

 

Nous avions rendez-vous avec le prêtre GEORGES SHESHKO qui nous a fait la visite.

Image

 

Certains sont déjà fatigués…..

 

 

 

Derrière ces portes se déroulent les offices:

 

 

 

 

Dernière vue de la cathédrale avant le retour.

Contributions photographiques de Claude, Lionel et Robert

Publié le

Nous avions organisé 2 visites pour ce très beau bâtiment, l’une le matin et l’autre l’après-midi.

 

Son histoire:  Cliquer Ici

 

 

Elle a donné son nom au Quai

 

Les salles Médiévales

Les parties basses du Palais, sont les derniers vestiges de la demeure Royale médiévale.

Elles étaient réservées à la garde du Roi et aux nombreux personnels (clercs, officiers et domestiques) au service du souverain et de sa famille soit environs 2000 personnes.

 

Cette salle construite dès 1302 sous Philippe le Bel est un exemple unique

d’ architecture gothique. Composée  de quatre nefs voûtées d’ogives, cette salle  était largement éclairée par des baies géminées dont les traces sont encore visibles.

Quatre cheminées chauffaient ce vaste réfectoire. sur le mur de gauche est encore présenté un fragment de la table de marbre noir, utilisée lors des fastueuses réceptions que la monarchie capétiene donnait dans la grand’salle d’apparat du Palais, située à l’étage et aujourd’hui disparue.

La salle des Gardes, contemporaine de la salle des Gens d’Armes, elle servait d’antichambre à la Grand’Chambre à l’étage, aujourd’hui disparue, où siégeait le Parlement sous l’Ancien Régime.

Dans cette salle des Gardes aujourd’hui se trouve la boutique.

 

 

Niveau de la crue de 1910.

 

 

 

Le couloir des prisonniers, avec le guichet du greffier, chargé d’enregistrer les détenus, ainsi que le bureau du Concierge, directeur de la prison.

 

 

 

 

La Chapelle expiatoire de Marie-Antoinette, aménagée en 1815 sous le Restauration sur ordre de Louis XVIII, frère cadet de Louis XVI, elle se situe à l’emplacement précis de la cellule de la reine.

 

La Chapelle, située à l’emplacement de l’oratoire médiéval du Roi, la chapelle des prisonniers sert aussi de cellule collective pendant la Révolution. Proche de la Chapelle expiatoire, ce lieu est aussi très marqué par la mémoire de la Reine.

 

 

La cour des Femmes, entourée par deux étages de cachots, elle servait aux promenades des prisonnières pendant la journée.

Après cette belle visite, nous sommes rentrés sur Carrières, satisfaits de ces 2 visites.

N’ayant pas eu de contributeur photographique pour le groupe de l’après-midi, je n’ai pas de photos des participants.

Photos de Claude, Lionel et Robert

Publié le

 En préambule la Présidente et les animateurs présentent leurs excuses à Chantal et Muguette qui chaque semaine animent l’ atelier travaux d’aiguilles.

Dans l’effervescence des nombreux adhérents (nous étions plus de 80 présents), nous avons totalement omis de les présenter ainsi que leurs travaux.

 

Bonjour les AVF,

C’est dans une ambiance très conviviale que nous nous sommes réunis pour tirer les Rois

 

 

 

 

Après un petit discours d’ introduction, notre Présidente nous propose sa
candidature pour les prochaines élections.
Et c’est après avoir félicité et encouragé son équipe motivée que nous avons
festoyé.

 

 

 

Les galette et le cidre faisant bon ménage, tout le monde y a trouvé sa
part.

 

 

`

`

 

Nous  nous sommes rapidement retrouvés devant une monarchie composée d’une douzaine de têtes couronnées.

Ceux qui n’ont pas eu de privilèges disent qu’ils feront mieux l’année
prochaine.

Belle après-midi chargée de souvenirs pour Tous,
A bientôt

Damien

Merci à tous les bénévoles qui ont mis en place et animés cette manifestation

Texte de Damien

Photos Damien et Robert

Publié le 10 avril 2019

Ce vendredi 29, nous étions un groupe très important à participer à cette sortie fluviale sur le canal Saint Martin et de l’Ourq.

 

 

Son Histoire:  Canal Saint Martin

 

 

Notre point de départ était le port de l’Arsenal, situé à la Bastille.

nous avons, en attendant l’embarquement, profité du soleil printanier.

 

 

 

 

Nous avons commencé l’embarquement.

 

 

Nous avons débuté notre ballade par la partie couverte qui fait 1800mètres, de chaque côté, il y a un petit passage qui permettait à l’origine de tirer les bateaux, des puits de lumière tout le long apportent de la luminosité.

Dans la partie la plus étroite du canal ces petits passages n’étaient plus possible, il y avait à la place un système de treuil hydraulique afin de tirer les bateaux.

 

 

Ensuite nous sommes arrivés aux premières écluses.

 

Nous avons traversé au total 8 écluses dont plusieurs doubles, cela correspond à un dénivellé de 24 mètres.

Tout le long du parcours, de nombreuses passerelles comme celles ci-dessous enjambent le canal.

 

Nous sommes ensuite arrivés sur le bassin de la Villette.

Petit aperçu de Street Art.

 

 

Le débarquement a eu lieu à 2 endroits différents, après une ballade, certains sont rentrés, d’autres sont allés au restaurant.

 

Après le restaurant, les participants  ont connu un retour mouvementé du fait des travaux du RER, mais finalement tout le monde est rentré à bon Port (c’est la cas de le dire).

Merci à Patricia, Dominique, Line, Claude et Lionel pour leurs contributions photographiques.

Publié le 15 décembre 2018

Finir l’année de belle manière, ce fut encore le cas, lors de ce repas.

La fin d’année approchant, le jeudi 13/12/18 a eu lieu notre traditionnel et très attendu repas de Noël.

Mais avant ce jour de nombreux membres et différents ateliers ont travaillé durement pendant de nombreuses semaines à la décoration.

Mercredi tous ces membres sont venus tout installer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La grande journée, découverte de la déco.

 

 

 

 

 

dav

 

Beaucoup d’adhérents se sont costumés en savoyards…

 

 

 

 

Tous en luge… pour la photo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis ce fût le temps du repas.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’heure des grands discours et des remerciements!!

 

 

 

Merci à ces dames qui ont préparé les différents plats.

 

 

 

Pour terminer ce petit texte de Damien:

« Pour terminer l’année en beauté, c’est sur les pentes neigeuses que fini notre douce glissade vers Noël et 2019.

Tout le monde a bien supporté les rigueurs du moment et est reparti sans être givré.

Bonne fin d’Année à Toutes et Tous,

en souhaitant que 2019 nous apporte toujours de bons moments aussi chaleureux »

Merci à Sophie, Patricia, Claudine et Michel et Damien pour leurs contributions photographiques.

 

Publié le 8 décembre 2018

Nicole avait organisé ce jeudi 6/12/18 la visite de l’expo « La fabrique du Luxe » au musée Cognac Jay.

Petit rappel historique:

« Marchands de tout et faiseurs de rien », suivant la célèbre et peu amène sentence prononcée par Diderot dans son Encyclopédie, les marchands merciers constituent l’une des corporations parisiennes les plus importantes au XVIIIe siècle.

Le musée Cognacq-Jay organise la toute première exposition consacrée à cette corporation particulièrement codifiée et incontournable dans la diffusion de l’art et du luxe français. À travers les destins de marchands comme Lazare Duvaux ou Dominique Daguerre, le musée présente une centaine d’oeuvres d’art, de documents et d’archives illustrant les origines du luxe à la parisienne.

À la fois négociant, importateur, collecteur, designer et décorateur, le marchand mercier occupe un rôle majeur dans l’essor de l’industrie du luxe à cette époque. Personnage atypique, il entretient des liens dans la haute aristocratie et s’appuie sur un réseau international d’artistes comprenant les meilleures spécialités techniques et artistiques, qu’elles proviennent de Lyon ou de Chine.

La corporation des merciers, troisième des Six Corps, est attestée dans la capitale dès 1137 et réunit les vendeurs de toutes sortes de marchandises déjà produites ou demeurant à « enjoliver » par l’assemblage. Après trois ans d’apprentissage, l’aspirant peut devenir maître et constituer un stock extrêmement varié, entre objets d’art, ameublement et textiles ; le droit de commercer les pièces « de provenance orientale », mentionné dans leurs statuts en 1324, reste l’une des constantes jusqu’à la fin des corporations, en 1793. Toutefois, la difficulté de définir leur périmètre est perceptible à travers les procès intentés et les éditions régulièrement augmentées de leurs statuts.

Au XVIIIe siècle, deux bâtiments symbolisent l’organisation temporelle des marchands merciers.

Le Bureau de la corporation, situé rue Quincampoix, abrite les assemblées et les archives. Le bâtiment est aujourd’hui détruit, mais sa façade pourrait avoir été réalisée sur le même modèle que celle édifiée par Jacques Bruant pour les drapiers ; cette dernière est aujourd’hui incorporée dans l’architecture du musée Carnavalet-Histoire de Paris.

L’église du Saint-Sépulcre – démolie en 1790 et autrefois située rue Saint-Denis – accueille les offices de la confrérie des merciers ; lieu de sociabilité par excellence, elle abrite aussi de nombreuses autres confréries, dont les peintres, sculpteurs et graveurs.
Si les adresses prestigieuses des merciers évoluent au cours du XVIIIe siècle, le secteur couvrant la rue Saint-Honoré, les boutiques du Palais-Royal et les quais conserve la prédilection de la noblesse parisienne comme des touristes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tout le monde est reparti satisfait de ce retour dans le passé et ravi d’avoir découvert de fabuleuses créations.

Merci à Claudine et Michel pour leur contributions photographiques.

Publié le 23 novembre 2018

Le 8 et le 22 Novembre Dominique Maréchal nous a concocté, ces 2 visites, organisées par l’association ASNEP (association sources du nord, études et préservation). Tous les membres de cette association sont  des bénévoles.

Photos du groupe du 8 novembre

 

 

Photos du groupe du 22 novembre

 

Le guide a commencé à nous expliquer la collecte de l’eau sous les Romains (avec clin d’oeil d’Underzo et Goscinny)

 

N’oublions pas qu’à la fin du 19ème siècle  Belleville ressemblait à cela…

 

 

Il nous a ensuite expliqué qu’à partir du XIIème siècle, commença la contruction des pierrées (empilement de pierres sèches formant une voûte, reposant sur une couche d’argile verte imperméable. Elles sont recouvertes de marnes blanches perméables. L’eau s’écoulant à travers ces marnes, traverse les joints de pierres sèches et s’écoule jusqu’à un bac de réception.

Ces différents captages sont connus sous le nom…(voir photo ci-desous)

 

Ces  captages furent réalisés par les différentes Communautés religieuses, pour alimenter leurs établissements situés alors en dehors des limites de la ville.

Les Hospitaliers de St Lazare drainèrent le versant nord et les religieux de St Martin des Champs exploitèrent le versant sud.

Le plus ancien texte atteste les travaux de St Lazare dès 1178.

 

En 1364 ce réseau passait entièrement sous l’autorité de la ville et il alimentait les fontaines de la rive droite à l’ouest de la rue St Martin.

Peu avant le XV ème siècle, la Ville développa son propre réseau municipal connu sous le nom « d’Aqueduc de Belleville », qui alimentait les fontaines de la rive droite situées à l’est de la rue St Martin.

Ce réseau est celui dont les ouvrages étaient largement dimensionnés, et de ce fait il reste les plus nombreux et intéressants vestiges.

Ici Le Regard de la Lanterne.

 

 

 

Ce regard constituait la tête du Grand Aqueduc de Belleville qui fut scindé ainsi que de nombreuses pierrées lors des fondations des grands travaux du XIXème siècle .

C’est un édifice construit entre 1583 et 1613 en remplacement d’un édifice plus ancien et plus modeste. 

Ce bâtiment en rotonde construit en fortes pierres de taille surmonté d’une coupole, elle même surmontée d’un lanternon.

Du seuil de la porte, un magnifique double escalier en pierre descend au bassin.

 

 

 

 

La magnifique pierrée de distribution rejoignant l’aqueduc de Belleville.

 

 

 

Grâce à la générosité d’un promoteur et de son architecte, qui ont modifié les plans du rez de chaussée et du parking, l’association a réussi à sauvegarder une partie d’une galerie avec sa borne de repérage.

 

 

 

 

Partie située sous l’immeuble.

Lors des fouilles.

Maintenant.

 

Partie coupée par l’entrée du parking

 

 

Plan d’un autre immeuble ou une galerie a été préservée.

 

Et

dont le passage est matérialisé dans la cour d’une maternelle.

 

Ci-dessous les photos d’autres galeries et regards.

 

 

 

 

 

D’autres regards

 

 

 

 

 

 

 

Photos du village de Belleville

Nous avons retrouvé Raymond « enchaîné »

 

Ce fut une excellente matinée très enrichissante, avec une atmosphère fraîche et humide.

Nous nous sommes tous ensuite retrouvé au restaurant afin de reprendre des calories.

Nous sommes ensuite rentrés à Carrières.

Publié le 17 novembre 2018

Le Beaujolais Nouveau est arrivé !

Enfin, nous l’avons Tous senti, humé, respiré et dégluti après l’avoir
longuement savouré avec nos papilles excitées mais,

aujourd’hui il ne nous reste plus que quelques photos pour nous souvenir de
ce moment agréable.

Vale divina potum

Comme chaque année, la soirée Beaujolais Nouveau organisée par Jacques et son équipe, s’est parfaitement déroulée comme d’habitude dans la bonne humeur.

Les adhérents avaient confectionnés les différents plats pour cette excellente dégustation.

 

 

 

 

 

Merci à tous ceux qui ont mis en place, servis et remis en état la salle.

Merci à Damien pour les photos et le texte de début

Publié le

Ce jeudi 16/11/2018, Yolande et Jean-Yves nous ont exposé leur voyage en Chine de l’an dernier.

Après nous avoir parlé d’histoire, de géographie, d’économie et de géopolitique, nous avons découvert leur parcours touristique à travers les différentes villes visitées.

 

Yolande et Jean-Yves ont lancé leur Film.

La Capitale Pékin, la ville était très fleurie, car la semaine précédente se tenait le congrès du parti communiste

 

La Cité Interdite

 

 

 

LePalais d’été , édifié par l’Impérarice Cixi à partir de 1886, non loin de l’ancien Palais d’été détruit en octobre 1860 lors de la guerre de l’opium.

Le Palais a subi des dommages en août 1900 lors de l’occupation de Pékin par les troupes occidentales.

Classé en 1998 sr la Liste du Patrimoine Mondial par l’Unesco

 

La galerie couverte ornée de plus de 14000 peintures est considérée

comme la plus longue du monde (728m)

 

 

 

 

Autre merveille, la muraille de Chine

Le temple du ciel

Voici maintenant la ville de Xi’an capitale de la province de Shaanxi au centre de la Chine.

Tour du tambour

 

`

 

Rue du quartier musulman

 

Et bien sûr l’armée de terre cuite ou l’Armée enterrée.

Dans les différentes fosses furent retouvés des millers de guerriers, cavaliers et leurs chevaux, des chars, etc…

 

 

 

Puis ce fut la ville de Yangshuo dans la région 

du Guangxi au sud de la Chine. La ville est établie au milieu de pics karstiques.

 

n

 

 

Puis ce fut Canton ou Guangzhou, capitale de la province du Guangdong dans le sud de la Chine.

Pagode des six banians

 

Le marché aux plantes et animaux éxotiques pour usages médicinaux et culinaires.

L’exposé se termine par Hong Kong, ancienne colonie Britannique rétrocédée en 1997.

 

 

 Vue de la baie depuis le pic Victoria (552m)

L’après-midi s’est ensuite terminée par le traditionnel thé ou café accompagné par les délicieuses pâtisseries confectionnées par les adhérents.