Je suis particulièrement heureux à l’idée de vous proposer cette conférence, car cet artiste touche l’âme. Ceux qui le connaissent me comprendront. Et plus c’est Alain Duault qui nous le présentera, c’est tout dire ! Claude Arditi
Franz Schubert a tout du mythe de l’artiste romantique : génie précoce, mort prématurée, manque d’argent, mélancolie. On a souvent voulu voir en lui un être incompris et malheureux. C’est oublier le soutien indéfectible de ses amis et l’atmosphère joyeuse des “Schubertiades”. Né et mort dans la très musicale ville de Vienne, Schubert a écrit pour tous les genres sauf le concerto, et a excellé particulièrement dans le lied, les pages pour piano et la musique de chambre.
Prenons une fois de plus à retrouver Alain Duault nous parler de ce compositeur avec son approche passionnante de la musique liée à un contexte historique. Ses propos seront illustrés par des morceaux choisis dans sa discothèque
Samedi 16 octobre 2021 à 16 h au
Théâtre de Poche 75 boulevard du Montparnasse Paris 6e
Claude ARDITI 01 42 72 33 66 – 06 12 24 67 54 – courriel : claude.arditi@wanadoo.fr
Pour obtenir le bulletin d’inscription, cliquez ici
Les acteurs essentiels à cette réussite :
Sans vous ce prix littéraire n’aurait pas pu exister, le comité national vous adresse un grand MERCI !!!
Le lauréat du premier prix littéraire des AVF est
A la deuxième place trois livres ex aequo
A la troisième place deux livres ex aequo
Le succès de cette expérience nous amène à réfléchir à un prochain prix des AVF.
Nous adapterons le règlement avec les remontées des cercles de lecture que nous interrogerons très prochainement.
« La lecture, une porte ouverte sur un monde enchanté » François Mauriac
Nous vous remercions de diffuser largement cette information
Le Comité National du Prix littéraire des AVF
Catherine Wessier, Elisabeth Comet, Michel Thoumsin , Patricia Ravet
Quelques photos de la petite neige du 10 février ainsi que l’inondation naissante de la seine.
L’étang de la Galiote en niveau haut.
Les arbres ont les racines bien immergées.
L’écorce des arbres renvoie la réverbération solaire dans la pureté d’un ciel dont nous avions oublié la beauté.
Les premières fissures apparaissent dans ce miroir de glace.
Les bancs isolés travers l’eau.
La seine affleure le chemin de hâlage.
Entre terre et eau.
