Publié le 11 juillet 2024

Une matinée pluvieuse et maussade et l’absence d’abri en cas d’averse, n’ont pas eu raison de la détermination de près de 40 marcheurs et randonneurs qui se sont élancés dès 9h du parking du lac pour une très agréable randonnée … … et qui leur a permis d’admirer un magnifique moulin à roue à aubes, toujours en fonctionnement sur la rivière…

Bravo aux artistes locaux qui l’ont construit !.

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Publié le 3 juillet 2024

 

Dés l’arrivée à Meymac et après une pause café très appréciée, le groupe des participants s’est rendu au musée où lui a été contée la saga des marchands de vins de « Meymac près Bordeaux ». En 1866,  un Meymacois astucieux avait eu l’idée de vendre du vin de Bordeaux dans le Nord de la France et en Belgique. De nombreux compatriotes ont suivi son exemple et tous ces « voyageurs » mentionnaient comme adresse postale « Meymac prés Bordeaux».

Ensuite, les visiteurs ont pu découvrir la reconstitution d’un bureau de négociant puis celle d’un chai avec divers outils du 19 ème siècle dédiés au travail de la vigne, puis d’une embouteilleuse.

Une dégustation de vin provenant du vignoble Meymacois planté en 2016 a cl^turé ce passage à l’éco-musée chai des Moines.

Aprés le repas pris dans un petit bistrot local, les visiteurs ont découvert successivement :

– le musée d’Archéologie et du Patrimoine Marius Vazeilles. Situé dans l’ancienne abbaye du XI ème siècle, il présente de nombreux objets illustrant les activités, les rites et coutumes des habitants de Haute Corrèze des temps reculés à nos jours. A savoir qu’une exposition temporaire est consacrée en 2024, à des vêtements et objets liturgiques.

– le Centre  d’Art Contemporain et son exposition temporaire relative cette année aux croquis de voyages.

Enfin et pour conclure cette journée en Haute Corrèze, un arrêt à Maussac a permis la visite de la distillerie Rougerie et la dégustation de ses délicieuses liqueurs artisanales.

Josette

Publié le 18 juin 2024

Claire et sa brigade de cuisinières se sont de nouveau surpassées pour offrir aux participants un repas aussi copieux que diversifié.

Farandole d’entrées, viande froide et multiples desserts ont enchanté tous les convives.

Si ce fut un grand moment de plaisir pour les papilles , ce fut aussi l’occasion de fêter dans la joie et la bonne humeur, l’anniversaire de Claire et de Marie-Anne.

 

 

Merci à tous les participants pour ce bon moment de partage et d’amitié qui font le sel de l’AVF.

Au plaisir de nous retrouver en septembre pour de nouvelles expériences gastronomiques.

Jean-Yves

Publié le 7 juin 2024

En 1908, Amédée, Jean et Paul Bouyssonie, 3 frères (2 sont abbés, 1 est professeur de philosophie), découvrent et exhument un squelette presque complet dans la « bouffia » (grotte) Bonneval… Le monde scientifique entre en ébullition, c’est une révolution car ce squelette d’un homme de Neandertal datant de 35000 ans, met en lumière de nouvelles théories sur les néandertaliens et sur l’évolution de l’homme.

Au musée de l’homme de Neandertal, une guide passionnée et passionnante a captivé son auditoire en retraçant les pérégrinations de nos ancêtres au cours des millions d’années. Puis, autour de la sépulture, elle nous a expliqué le pourquoi et le comment de cette découverte remettant en cause certaines théories sur l’origine de l’humanité. De plus, les nouvelles technologies, nous permettent de dire aujourd’hui que l’homme de La Chapelle aux Saints avait 60 ans (un bel âge pour l’époque !). Enfin, le musée permet d’admirer les outils et outillages découverts sur le site.

Après un bon repas au restaurant « Le Barbacane » à Curemonte, un guide de l’association « Les Amis de Curemonte » nous a raconté l’histoire d’un des plus beaux villages de France et de ses joyaux. 

Ce village médiéval sur le 45° parallèle, accroché à un piton rocheux, avec ses belles maisons nobles, sa halle du début du XIX° siècle abritant un fût de croix du XVI° siècle, ses 3 châteaux aux tours rondes ou carrées (Saint-Hilaire, Plas, La Johannie), ses 3 églises dont l’église Saint-Barthélemy datant du XII° siècle, a accueilli en 1940 Colette de Jouvenel, journaliste et résistante célèbre, fille de l’écrivaine Colette et de Henri de Jouvenel.

Que ce soit le groupe du 14 mai ou celui du 22 mai, tous ont vivement apprécié cette journée riche de découvertes.

Christian

Publié le 12 mai 2024

Julie ruocco, nous narre l’histoire de Bérénice, une archéologue française devenue   trafiquante d’antiquités qui cherche des artéfacts dans les ruines romaines de Palmyre détruite par les djihadistes de l’Etat Islamique (organisation terroriste également appelée Daech). Elle échappe à un attentat et sauve une enfant sans nom d’un camp de réfugiés et s’enfuit en Turquie, à Kilis, où elle rencontre Asim, pompier puis fossoyeur en Syrie et faussaire de l’autre côté de la frontière. Taym, la sœur de Asim, une ardente activiste a été décapitée par les islamistes mais a pu consigner toutes les preuves des exactions commises par le régime de Bachar Al Assad à l’encontre des opposants à sa dictature, ainsi que celles perpétrées par les djihadistes. Taym voulait par son témoignage, obliger l’occident à s’impliquer davantage dans ce conflit en montrant le génocide en cours, notamment l’utilisation de gaz sarin contre la population, ce qui avait été désigné comme étant la ligne rouge à ne pas franchir. En vain !… Rentrer en France est difficile depuis la Turquie, aussi retournent-ils en Syrie mais en zone kurde, en Rojava, là, les peshmergas établissent une démocratie où les femmes sont les égales des hommes…

Cet ouvrage nous montre le martyr vécu par des civils qui n’aspirent qu’à vivre en démocratie sans voile ni féminicide. Le combat mené par les combattantes kurdes est exemplaire. Il nous rappelle que la guerre civile en Syrie, commencée en 2011 dans le sillage du Printemps arabe, n’est pas terminée et que les massacres perpétrés par le régime syrien et les islamistes sont toujours d’actualité.

Raymond

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Le report de cette sortie a entrainé la défection de 6 participants ; c’est donc 8 marcheurs seulement qui ont pu bénéficier de la randonnée et de quelques averses…

Le parcours en 2 boucles n’était pas très long  mais il présentait un dénivelé positif de 521m (plus de 1 000m en cumulé !). Il n’en n’était pas moins agréable et faisait le tour des sites remarquables d’Aubazine : le Canal des Moines, sous une pluie battante, le cromlech vieux de 5 000 ans avec sa vue imprenable sur le Sancy et le Plomb du Cantal, le dolmen vieux de 6 000 ans, les ruines d’habitats du XIIe siècle appartenant au monastère, un rouissoir permettant de récupérer les fibres du chanvre et du lin, le calvaire et la chapelle, les vestiges du monastère féminin, et sans oublier la statue décapité de Saint Etienne fondateur de l’abbaye d’Aubazine au XIIe siècle.

Au moment du pique-nique… il tombait des cordes ! ; mais les restaurateurs de CHEZ COCO ont gentiment accepté de nous abriter moyennant un léger dédommagement.

Une belle sortie avec un parcours essentiellement sur des chemins forestiers qu’aucun participant n’a regrettée malgré une météo pluvieuse.

Raymond

Photographies : Sylvette, Jean-Jacques et Fokko.

Publié le 4 avril 2024

Le thème de la soirée était « Les vins mono-cépages »

Jean-Marie nous a fait découvrir 5 vins :

  • Le Château de Pizay – Un beaujolais de cépage « Gamay »
  • Les Graviers – Un chinon de cépage « Cabernet »
  • Le Château Crochet – Un sancerre de cépage « Pinot »
  • La Champine – Un vin de France de cépage « Syrah »
  • Le Combel La Serre « Le pur jus des Causses » – Un cahors de cépage « Malbec »

Après dégustation, avec modération bien évidemment, les préférences se sont tournées vers le beaujolais et le chinon.

A vous, à présent, de vous faire votre propre idée !

Christian

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Philippe BESSON nous invite à bord du train de nuit N°5789, départ de Paris à 20h52, arrivée à Briançon à 8h18.

Les voyageurs ne se connaissent pas au départ mais la durée de voyage est assez longue pour qu’ils se parlent, se dévoilent, se confient et nouent des relations. Habilement, l’auteur mêle à son intrigue la description de paysages invisibles de nuit, en nous contant l’histoire et la géographie de certains lieux.

Mais tous les voyageurs n’arriveront pas à destination ; Certains mourront dans cet intercités de nuit. Pourquoi ? Comment ? Et qui est ce Giovanni Messina qu’on nous présente brièvement au début du roman ?

Sans être ni un polar, ni un thriller, la tension monte au fil des pages de ce roman bien écrit ; A un point qu’il serait dommage de l’oublier sur la banquette à l’arrivée ou, pire, de rater ce train.

Raymond