Texte et photos de Danielle Wojnarowski et Virginie Murphy.
Une belle participation à cette deuxième soirée littéraire dont une dizaine d’adhérents AVF salués par Marie-Ange la correspondante avec l’équipe Decitre.
La réunion a débuté par les coups de cœur présentés par les organisatrices, tous ayant trait à la montagne et à la nature :
- On était des loups de Sandrine Collette
- L’île haute de Valentine Goby (prix Goncourt des lycéens)
- La nuit des pères de Gaëlle Josse
- Blanc de Sylvain Tesson
- La géante de Laurence Vilaine
- Impossible d’Erri de Luca
- J’aurais pu devenir millionnaire, j’ai choisi d’être vagabond d’Alexis Jenni ; et en BD par Clément Baloup
- Apocalypse blanche de Jacques Amblard
- Manga : Le sommet des Dieux
- La dernière reine de Jean-Marc Rochette
La suite de la réunion a permis de découvrir le premier roman de Simon Parcot : Le bord du monde est vertical. L’auteur a débuté par un rapide aperçu du livre : il parle du mystère des alpinistes. C’est une cordée de 3 personnes avec comme personnage principal Gaspard.
Puis, il a répondu à un flot nourri de questions de l’organisatrice et d’un représentant de la médiathèque de Bonlieu portant sur sa démarche d’écriture, son but, ses inspirations, ses maîtres… L’auteur a exprimé que pour lui la montagne est une expérience de la beauté, de l’amour et de la mort.
A la question de l’animatrice de la soirée Decitre pour savoir ce qui le pousse à écrire, il cite : « J’écris pour me baigner dans le plaisir des mots » et que pour lui c’est « Le devoir de ce qui est impossible à dire».
Il avoue être influencé par deux livres qui lui sont chers avec Jón Kalman Stefánsson Entre ciel et terre et le roman inachevé d’un Rimbaud du XXe siècle René Daumal Le Mont Analogue.
La séance de dédicace a suivi ainsi qu’un pot d’accueil offert par la librairie Decitre.
