Vin de comptoir il le fut par le passé qui régalait le gosier des lyonnais autour d’un pâté en croûte à 9H du matin, histoire de les mettre de bonne humeur pour la journée.
Vin de comptoir il le fut aussi dans le Paris ancien, quand la capitale grouillait d’ouvriers, d’artisans avant que le temps ne fasse son œuvre de délocalisation des Halles à Rungis, puis des différentes corporations vers des contrées de plus en plus éloignées.
La tradition du vin nouveau ou primeur se perdit petit à petit jusqu’à ce que des vignerons relancent la tradition en menant des opérations de marketing intelligentes et habiles.
Ce vin de comptoir acquit ainsi une renommée mondiale autour d’un événement ayant lieu le troisième jeudi du mois de novembre.
Le business et l’appât du gain transforma ce vin de joie ouvrière en infâme piquette ce qui bien sûr nuisit à toute l’appellation beaujolais.
Depuis quelques années, le beaujolais nouveau a retrouvé un peu de « couleurs ».
Mais pour l’A.V.F de Sainte-Maxime et golfe, c’est le meilleur vin du monde, car il donne de la joie, du plaisir et de l’entrain.
Florent Kenniche a assuré d’emblée une ambiance musicale entraînante donnant immédiatement à cet « événement  du beaujolais nouveau » des airs de fête. Au fil des chansons, des convives sont venus mêler leurs voix aux rythmes des instruments  nous enchantant  de leurs talents.
Gérard Gois et l’équipe des buffets (une véritable brigade de cuisine et une équipe de salle) se sont une nouvelle fois dévoués pour un service impeccable. Nous possédons en eux un bien inestimable qui participe à la joie de nous retrouver ensemble.
Enfin Mireille Le Jolivet, « Notre Mireille »  prit le relais et la piste de danse devint trop petite tant le plaisir de danser saisit la majorité.
Le Beaujolais Nouveau est vraiment le meilleur vin du monde. : André DIAS
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