La conférence du 27 Janvier portait sur la problématique de l’eau dans le monde.

La terre est la seule planète ayant de l’eau liquide, condition nécessaire à la vie de l’homme et de notre nature.

L’homme puise l’eau douce dans les nappes phréatiques, les nappes fossiles et les eaux de surface. Le cycle de l’eau réapprovisionne partiellement l’eau utilisée.

Une grande partie de la population mondiale manque plus ou moins d’eau pour vivre, car les ressources disponibles sont inégales selon les régions, et des lacunes dans la distribution locale sont fréquentes.

Les prévisions pour les décennies futures sont pessimistes, car les eaux de surface et les océans doivent subir le stress hydrique, les pollutions multiples, le manque de traitements des eaux usées, l’invasion des plastiques et des rejets humains. S’en suivent la désoxygénation, les zones mortes dans les océans, l’attaque des coraux, les risques de montée du niveau des mers, et l’intensification des catastrophes naturelles.

L’eau est aussi un enjeu géopolitique, et quelques exemples de tensions internationales flagrantes sont abordés.

La crise du COVID aura accentué la prise de conscience des dérèglements environnementaux et des risques qui en résultent. Des réactions positives et des remèdes ont été proposés, avec parfois un début de résultat, mais d’énormes efforts restent à fournir, tant au niveau des pouvoirs publics, des entreprises, de l’agriculture et des populations, pour tenter de freiner l’emballement destructeur enclenché depuis des décennies. Mais de nombreux obstacles subsistent, notamment politiques et financiers.

     ANDRE BOURDEAU

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