La scène s’ouvre sur un mur d’escalade et la projection d’images en haute montagne, l’univers du funambule Nathan Paulin. Nathan traverse la scène perché sur le fil tendu à plusieurs mètres de hauteur.
Surgissent alors sur le mur d’escalade une dizaine d’artistes : nous les supposons acrobates, voltigeurs, grimpeurs, des athlètes de haut niveau. S’ensuivent pendant une heure multiples enchaînements : des colonnes à trois, des chutes, des rattrapages, des envols. Nous assistons à un véritable ballet aérien dans la fluidité et la grâce des gestes et des mouvements.
Les acrobates sont projetés vers et depuis le mur d’escalade sans arriver à atteindre le funambule. L’histoire se termine en apothéose : le funambule finit par descendre au sol porté par les acrobates.
Nous saluons la prouesse sportive de ces artistes et la beauté du spectacle. La salle applaudit longuement ces artistes et leur chorégraphe.
A la suite, cinq d’entre nous se retrouvent au bar autour d’une soupe et d’un verre.