- Communication: Christiane VATIER (Août 2022)
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Danielle Schmidt-Picart – AVF HAUT LEON Nougat GlacéPour 6 personnes Préparation: 35 minutes Cuisson: 1 minute Congélation: 4 heures
Ingrédients : * 30cl de crème liquide bien froide pour obtenir une chantilly onctueuse) 3 blancs d’oeufs 70g de sucre semoule 3 cuillères à soupe de miel 1 sachet de pralin (Vahine) 100g de macédoine de fruits confits 1 pincée de sel 1ère étape: Porter le miel et 40g de sucre à ébullition pendant 1 minute. D’autre part, battez les blancs en neige au fouet électrique avec une pincée de sel. Versez dessus le miel chaud en filet sans cesser de battre les blancs jusqu’à complet refroidissement de la préparation. 2ème étape: Versez la crème liquide dans un saladier et placez le tout au congélateur 2 à 3 minutes (il est important que la crème soit bien froide afin qu’elle monte bien). Montez la crème liquide au fouet de façon à obtenir une chantilly onctueuse. 3ème étape: Incorporez délicatement la crème chantilly aux blancs refroidis à l’aide d‘une spatule. Ajouter également à ce mélange le pralin et les fruits. 4ème étape: Recouvrez le fond et les bords d’un moule à cake avec du papier sulfurisé, puis versez-y la préparation précédente. Placez le moule au congélateur et faites prendre en glace pendant au moins 4 heures. Pour l‘accompagner, on peut choisir un coulis de framboises ou de kiwis. Préparez le coulis: épluchez les kiwis, coupez-les en 4, retirez le cæur blanc et placez la chair dans un bol, mixer avec le reste de sucre. Laissez le papier et coupez des tranchez que l’on servira avec le coulis. Conseils: Pour faire durcir le nougat glacé, utilisez de préférence un moule métallique qui est un bon conducteur du froid. Vous pouvez varier en fonction de vos goûts (remplacer les pralines et les fruits confits par des amandes hachées, des pépices de chocolat ou des raisins secs.) |
La marmite du Pêcheur – 6 personnesIngrédients : 4 grosses tomates Crème épaisse (50cl) 2 blancs de poireaux 2 verres de muscadet 2 gros oignons 1kg500 moules 1 bulbe de fenouil 12 langoustines ou grosses crevettes 1 botte de persil 1 safran 6 tranches de lotte ou cabillaud 12 coquilles (optionnel) 100 gr de beurre doux Huile d’olive, farine, Cayenne 1 à 2 échalotes – Emonder les tomates, épépiner et couper en cubes – Couper les poireaux et les oignons en dés – Couper le fenouil en lanières fines – Laver le persil et émincer grossièrement Dans une marmite (si possible fonte), faire chauffer l’huile d’olive + 1 noix de beurre. Suer les poireaux et oignons et le fenouil. Rajouter les tomates, le safran, et 1 verre d’eau. Saler, poivrer + cayenne. Porter à ébullition et laisser mijoter 30mns. Pendant ce temps, mettre le vin blanc, les échalotes et le persil dans une casserole. Porter à ébullition et ajouter les moules jusqu’à ouverture. Les décortiquer, laisser reposer le jus de cuisson et réserver. Préparer les tranches de lotte ou cabillaud, les crevettes ou langoustines. Les poser délicatement sur le dessus de la marmite pour 15mns environ ainsi que le jus de cuisson des moules allongé avec la crème épaisse. Dans un bol, préparer un beurre manié avec le beurre frais et la farine. Ce beurre sera ajouté à la préparation pour épaissir la sauce. C’est prêt ! Bon appétit !!! |
RECETTE DU PAIN DOUX BIGOUDEN
INGRÉDIENTS :400g farine PRÉPARATION (20 mn) :Délayer la levure dans un 1/2 verre de lait tiède.
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Le Kouign des Gras
Mais c’est quoi le kouign des Gras ? On est loin ici du kouign aman. Certes on y trouve du beurre et du sucre, mais le kouign des Gras est un gâteau brioché. Il doit ce nom de kouign des Gras, parce qu’il est traditionnellement préparer pour la période des Gras. On l’appelle aussi « kouign ened » soit gâteau de Carême. C’est une spécialité de la pointe Sud Finistère entre Douarnenez et Plozévet. Chacun dans la région a sa recette familiale bien gardée jalousement. C’est pour cela que l’on se référe à ceux des boulangeries de la région généralement. Autrefois, à la période des Gras, chaque famille apportait son kouign à cuire dans le four du boulanger. Pour distinguer les kouigns, chacun déposer un objet sur le dessus pour le reconnaître. Hors de la période des Gras, on ne le trouve généralement que le vendredi dans certaines boulangeries. Bref, nous sommes loin des Gras et de la Carème, mais qu’importe, il faut savoir céder à son envie. Pour cette recette, je me suis inspirée de plusieurs recettes – pour arriver à un résultat proche de celui que je connais. Pas facile avec des recettes aux quantités aléatoires. Pour 2 kouigns Ingrédients 650 g de farine 1 jaune pour la dorure La veille faire tremper les raisins dans du rhum brun. Faire chauffer légèrement le lait, et y diluer la levure de boulanger. Faire fondre le beurre, et réserver. Dans le bol d’un robot avec le bras du pétrin, Lorsque les ingrédients sont bien mélanger ajouter le beurre fondu, Attention c’est une pâte assez collante, ni rajouter pas de farine pour la travailler. Mettre la pâte dans un récipient, filmer au contact et laisser pointer 20 minutes à température ambiante.
Dégazer la pâte de nouveau et la façonner. Faire pousser la brioche jusqu’à ce qu’elle ait doublé de volume – soit au four à étuve, soit dans une pièce chaude et humide. Pré-chauffer le four à 165°C. Démouler et laisser refroidir sur une grille. |
Le choten – DescriptionLe chotten ou choten (costé-pen en breton) est une spécialité charcutière ancestrale, à base de tête de porc, encore présente dans les campagnes cornouaillaises. Bien que devenue rare dans le commerce, quelques artisans du côté de Quimper en poursuivent la fabrication. Ce « pur produit du terroir », mets rustique s’il en est, se résume à une demie-tête de porc, saumurée et rôtie, découpée dans le sens longitudinal (de haut en bas). La recette ne répondant à aucun « code » établi, tous les chottens ne se ressemblent pas. Certains y adjoignent des oignons. A l’arrivée, la demi-tête de porc, plus ou moins joufflue, avec son demi-groin et son unique œil, repose dans une terrine. Autrefois, durant la période des Gras (avant le Carême), les paysans qui avaient tué le cochon apportaient leurs demi-têtes de porc au boulanger de la commune. La coutume voulait que celui-ci prête son four pour la cuisson du pain doux et du chotten. En cela, le chotten n’est pas sans évoquer une autre spécialité, mais de l’autre extrémité de la Bretagne : le porché de Dol. —
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4 – « Les Belles Pages »
Voici un texte de Jean D’Ormesson envoyé par Christiane Vatier ….