N’y allons pas par quatre chemins, celui qu’il faut prendre c’est celui de Compostelle.
C’est de A à Z que Paul Brejon nous en a montré, la géographie, l’organisation matérielle, les démarches personnelles, affectives, spirituelles, dans la grande lignée des pèlerins de Saint Jacques ininterrompue depuis le Moyen-Age.
La longue marche internationale, intergénérationnelle, reste une épreuve personnelle au milieu de la foule. Si le bourdon et la coquille en restent les symboles, le smartphone et le wifi les accompagnent désormais ainsi que les écrits d’auteurs qui les ont précédés.
Beaucoup de questions, de la part de ceux qui l’ont fait, ceux qui voudraient le faire et ceux qui regrettent de ne pouvoir le faire, questions qui sont poursuivies autour d’un superbe buffet et personne n’est resté sur sa faim.