En s’inspirant de la ritournelle « un peu, beaucoup, passionnément… », Karine a classé ses lectures et a aimé :
* A LA FOLIE :
« Le naufrage des civilisations » d’Amin Maalouf : enfin un livre limpide qui se lit comme un roman sur les événements géopolitiques mondiaux de ces 50 dernières années.
« Tous, sauf moi » d’Allesandra Missandri : une belle saga qui se déroule en Italie de l’avant seconde guerre mondiale aux années 2010. A dévorer !
« L’œil le plus bleu » de Toni Morrison : une écriture bluffante pour une histoire dramatique sur la condition noire aux US et de la misère sociale. Parfait !
* PASSIONNEMENT :
« Pietra viva » d’Eleonor de Recondo : nous suivons Michel Ange pour une période courte sur le site de Carrare à la recherche des meilleurs marbres pour son prochain projet. Un prétexte pour revenir sur le métier de sculpteur et la vie de Michel Ange. Porté par une belle écriture.
« La fissure » de Didier Petitlaurent : un homme décide de changer de vie après avoir découvert une fissure sur la façade de sa maison. Agréable à lire, divertissant, inattendu.
« Cette nuit là » de Lindwood Barclay : un policier bien mené. Une femme dont sa famille a disparu 25 ans plus tôt participe à une émission du style « portés disparus » pour trouver une réponse. Et là le voile commence à se lever…efficace.
* BEAUCOUP :
« Les endormeurs » d’Anna Enquist : une psy et une anesthésiste frère et sœur. On découvre le métier d’anesthésiste complet et l’histoire familiale faite de blessures apparait. Fin surprenante, lecture agréable, histoire originale.
« Le cas Eduard Einstein » de Laurent Seksik : le second fils d’Einstein a passé sa vie en clinique psychiatrique. On suit la vie d’Einstein et apprend ainsi beaucoup de choses mais j’ai trouvé cette histoire très triste.
* UN PEU :
« Madame Zola » d’Evelyne Bloch Dano : on plonge dan l’époque et découvre que les écrits de Zola sont fortement inspirés de sa vie intime et de celle de sa femme. Beaucoup de lettres reproduites qui m’ont un peu lassée.
« Meurtre au Ritz » de Michèle Barrière : un meurtre a été commis dans les locaux du Ritz peu avant son ouverture (autour de 1898). Une plongée dans le Paris de cette époque mais écriture peu travaillée et personnages trop primesautiers à mon goût.
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