MAISON DE LA CULTURE
Vendredi 4 mars à 20h30 –
BENJAMIN BIOLAY
Un génie de la musique qui marque de manière décisive la chanson française.
À ne pas manquer !
Dès Rose Kennedy en 2001, l’artiste bouleverse le paysage musical. Après neuf albums solos, des duos avec Chiara Mastroianni ou Melvil Poupaud, six Victoires de la musique, l’auteur-compositeur-interprète virtuose continue d’affirmer son amour pour toutes les musiques. De formation classique au Conservatoire de Lyon, il sait jouer de tous les instruments. Sur des arrangements ciselés et envoûtants, on aime ses textes intimes, son verbe incisif et politique. La voix est parlée à la manière d’un Gainsbourg du 21e siècle et les mélodies sont imparables. Ses concerts marient le piano mélodieux et les décibels rock. Pour Henri Salvador, Juliette Gréco, Françoise Hardy, Julien Clerc, Vanessa Paradis, les compositions de cet artiste majeur de la scène hexagonale embellissent les ondes. Artiste complet, il joue au cinéma, pour Laetitia Masson ou Christophe Honoré.
&&&&&
LES HOMMES ET LES DIEUX
Vendredi 18 mars à 20h00 –
(Symphonie Nº 5 de Beethoven -la Cantate bwv 201,
une des rares cantates profanes de J.S. Bach)
C’est très grand, c’est absolument fou ! » déclara Goethe en entendant la Symphonie Nº 5 de Beethoven pour la première fois.
Entre Apollon et Pan, la bataille fait rage : qui triomphera du concours du meilleur chanteur ?
Tel est le sujet de la Cantate bwv 201, une des rares cantates profanes de J.S. Bach.
De vastes dimensions et richement instrumenté, l’ouvrage alterne arias sublimes et joyeux mouvements de danse dans une perspective lyrique et dramatique très proche d’un véritable opéra…
En regard de ce fastueux drama per musica, c’est un tout autre drame, autant musical que profondément humain qui se jouera avec la Symphonie Nº 5 de Beethoven (1808).
Avec, notamment, son fameux « thème du destin », cette œuvre emblématique n’a pas fini de nous interpeller, aussi bien par sa signification universelle qu’au plus intime de nous-mêmes
